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Étiquette : épanouissement

Insight #44

leonor fini, insight, coaching, vision
Leonor FINI – Le Radeau, 1979 – Huile sur toile – 80 x 116 cm.

 

“Votre vision devient claire lorsque vous pouvez regarder dans votre cœur. Celui qui regarde à l’extérieur de soi ne fait que rêver ; celui qui regarde en soi se réveille.”

“Your visions will become clear only when you can look into your own heart. Who looks outside, dreams; who looks inside, awakes.

― C.G. Jung

 

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Gérez-vous votre énergie comme vous gérez vos finances?

énergie

 

Je suis parfois étonné de voir des amis, clients ou confrères dépenser une énergie folle en colère, rancune, lamentations et éternels griefs alors qu’ils ne trouvent ou ne retrouvent pas l’énergie nécessaire pour aller de l’avant, s’émerveiller ou tout simplement se retrouver.

Bien entendu, faire un peu de BMW (bitching-moaning-whining autrement dit médisances-gémissements-pleurnicheries) fait du bien, permet de relâcher la pression et de se vider des tensions parasites.  Cependant, lorsque ceci devient une attitude, voire un modus vivendi, c’en devient aussi une source de tensions en soi.  Cette forme d’anti-énergie annihile ce qui est la véritable énergie en un cercle particulièrement vicieux dont il n’est pas toujours facile de sortir.

Une fois de plus, il s’agit d’une question d’équilibre et d’économie saine de nos ressources.  En d’autres termes et pour utiliser une analogie simple, gérez-vous votre énergie comme vous gérez vos finances sachant que les flux entrants et sortant ne sont pas toujours sous votre contrôle? L’énergie que vous trouvez, recevez, donnez, dépensez et investissez n’est pas sans fin et mérite sans doute plus d’attention qu’il n’y paraît, en particulier avant qu’elle vous fasse défaut.

Peter Bregman parle quant à lui de stratégie et propose cinq solutions pour une gestion adéquate de notre énergie:

  1. Observez – Où dépensez-vous notre énergie, où y a-t-il des fuites, où vous perdez-vous, où vous épuisez-vous? Prendre du recul, s’auto-observer est la première étape pour changer vos habitudes. Ceci peut se faire en temps réel (observez, écoutez votre corps) où rétrospectivement.
  2. Sachez ce qui compte réellement – Qu’est-ce qui vous procure joie et épanouissement, qu’est-ce qui vous dynamise, qu’est-ce qui vous aligne avec votre raison d’être? Identifier ces sources, c’est savoir où il est judicieux d’investir. 
  3. Planifiez vos investissements – Dès le moment où vous savez où il vous est possible de vous ressourcer, de grandir, de vous épanouir, adaptez votre agenda en fonction.  Réservez du temps à ces activités (ou à ces personnes) afin qu’elles envahissent et chassent celles qui vous épuisent.
  4. Surtout, fuyez ce qui vous perd – Il est plus facile de ne pas commencer une activité que d’y échapper une fois commencée.  Il est plus profitable (et aisé) d’éviter certaines personnes que de quitter leur conversation. Alors, nettoyez les joints avant que ceux-ci ne lâchent, c’est la meilleure façon d’éviter une inondation.
  5. Finalement, ne songez pas trop à ceci – une course perpétuelle à l’optimisation peut en soi devenir épuisante et contre-productive.  Progresser pas à pas est motivant et plus judicieux que de s’évertuer à toucher la perfection, cette perfection qui, de toute façon, n’existe pas!

 

Source: hbr.org

 

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Question de coach (4)

Before-I-Die-NOLA-Candy-Chang-wall-angled

photo © Candy Chang

L’inspiration peut être définie comme un enthousiasme, un souffle créateur qui anime l’écrivain, l’artiste, le chercheur et donc une idée qui amène à la création. Et si nous pensons que le coaching est un art, alors est-il bienvenu que l’art inspire les coachs.

De la Nouvelles-Orléans au reste du monde

L’art aussi peut inspirer les coachs lorsqu’il confronte l’individu à ses aspirations, comme c’est particulièrement le cas avec cette oeuvre de l’artiste et designer américaine Candy Chang et de son oeuvre Before I die… créée en février 2011 à la Nouvelle-Orléans et transposée depuis dans 73 pays et 36 langues.

Eclairée par la mort soudaine d’une amie proche sur les choses qui avaient désormais du sens dans sa vie – mais luttant pour maintenir cette perspective dans sa vie quotidienne – Candy Chang a imaginé transformer le côté d’une maison abandonnée en un tableau noir géant pour y peindre au pochoir une phrase dont il fallait remplir les blancs à l’aide d’une craie : «Avant de mourir, je veux…». Un mur qui ne mit pas plus d’une journée pour être rempli de rêves par les passants. Cette installation artistique revêtit ainsi une forme d’activisme social laissant les individus exprimer leur voix dans l’espace public.

Premier d’une longue série de murs – plus de 1.000 au total – ayant essaimé les cinq continents, cet espace négligé devint une place réservée à la réflexion constructive et à la contemplation, un lieu de partage portant le souvenir de ce qui compte vraiment le plus quand nous grandissons et changeons. Le message de l’artiste est que penser à la mort peut ne pas être angoissant mais, au contraire, rend notre vie claire. En quelques sortes, la mort éveillant à la vie d’un point de vue métaphorique (la maison abandonnée se transformant en espace de création), symbolique (l’aspiration plutôt que le regret) et dynamique (la participation du public à l’oeuvre en soi).

De l’art au coaching

Quel rapport avec le coaching? En tant que coachs, nous sommes fréquemment confrontés à des clients se sentant dans une impasse, professionnelle ou autre. Malheureux au travail, convaincus qu’ils ne sont pas à leur place sans pour autant savoir comment définir ou réorienter leur carrière, épuisés et se sentant impuissants dans leur propre mal-être, ils sont installés dans une spirale négative. Focalisés sur ce qui ne va pas, fascinés par l’obstacle, éblouis par la peur, sans horizon, il leur devient alors difficile d’éviter l’écueil. Le rôle du coach est à ce moment de leur faire trouver en eux et de ranimer ce qui d’étincelle deviendra flamme avant de devenir à part entière une source d’énergie auto-régénératrice. C’est alors inverser la polarité de la spirale et faire en sorte que chaque nouveau pas soit vu comme une étape d’expansion conscientisée et d’épanouissement endogène, l’individu étant au centre d’un cercle vertueux.

Là où l’oeuvre de Candy Chang est source d’inspiration, c’est dans la question qui y est donnée au coach pour déclencher ce processus: 

« Que voulez-vous avoir fait avant de mourir? »

Par une telle question – certes provocante – futur et présent se télescopent et réveillent potentiellement des rêves oubliés dans un vivier où énergie et enthousiasme pourront être puisés. C’est également une question pouvant amener à réfléchir sur le thème de la mission, de la raison d’être, de ce que l’individu veut laisser derrière lui. En effet, de ce qu’il souhaite faire avant qu’il soit trop tard sera identifié un système de valeurs et de croyances porteuses profondément ancrées en lui et où le coach trouvera matière à explorer.

En conclusion

De trouver l’amour à l’Atlantide, de devenir une source d’inspiration à voir un élan, d’avoir un bateau à être publié (autant d’exemples trouvés sur les murs de Candy Chang), peu importe le rêve si le coach est à l’écoute du dit et du non-dit. Et si l’écart entre aspiration et réalité semble insurmontable et donc non réaliste pour devenir un objectif de coaching à part entière, laissons-y plutôt voir au coaché l’occasion de faire un pas de plus vers la découverte de soi et donc une source d’inspiration vers l’action.

Et n’oublions jamais que si le coaching est une danse, la danse est bel et bien un art.

 

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Vie privée, vie professionnelle… de l’équilibre à l’intégration (2/2)

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Comme présenté dans un précédent article, la notion d’intégration semble plus appropriée que celle d’équilibre lorsque l’on met en perspective vies privée et professionnelle.

Tandis que la technologie permet de plus en plus fréquemment de relativiser la notion de lieu de travail, tandis que, peu à peu, les robots se substituent à l’homme (une étude récente avance le chiffre de 47% des emplois aux Etats-Unis qui seront menacés au cours des deux prochaines décennies de par ce fait – une autre que 40% des emplois australiens risquent d’être automatisés dans les dix à quinze prochaines années), l’épanouissement personnel dans un cadre instable n’est plus seulement un droit mais une priorité.  Si les frontières entre deux mondes s’estompent, alors seule une approche globale ou plutôt holistique se révèle une seule solution viable à long terme.

N’oublions pas que, comme le souligne Helen Langer, « il y a du stress tant dans la vie privée que dans la vie professionnelle. Il y a des horaires à respecter.  Si vous les maintenez séparés, vous n’apprendrez pas à transférer ce que vous faites brillamment d’un domaine à l’autre. Lorsque l’on est pleinement conscient, nous réalisons que ces catégories sont arbitraires et ne nous limitent pas.  Souvenons-nous aussi que le stress n’est pas fonction des événements; c’est une fonction de la façon dont nous considérons les événements. »

Le rôle du coach

Dans ce contexte, quel peut être l’apport du coaching ?  Comment peut-il favoriser cette transition, en particulier dans une situation ressemblant à une structure dichotomique où travail et plaisir sont perçus comme conceptuellement antinomiques? Précisément, c’est en suggérant d’aller au-delà d’une approche centrée sur la gestion du temps, sur la priorisation des tâches (voire leur délégation) ou encore sur le développement de l’assertivité.  En effet, aussi utiles que soient les enseignements tirés de sessions portant sur ces objectifs, ceux-ci ne peuvent que renforcer l’opposition vie privée-vie professionnelle, vision faite de noir et de blanc, dépourvue de nuances. Le coaching doit donc envisager l’exploration, puis la conscientisation et enfin l’expression de la raison d’être

Les questions invitant à un tel voyage sont nombreuses.  De la classique « Qu’est-ce qui est important pour vous? » à la plus subtile « Quels étaient vos rêves d’enfant? » en passant par la ludique « Qu’est-ce qui vous passionne au point de vous faire oublier de manger? », toutes ont pour but d’amener à entrevoir cette énergie qui fait vibrer dans un contexte impliquant autrui avant de l’explorer avec sérénité.

Peu importe que par la suite cette raison d’être soit traduite en devise ou en mood-board, tant que le coaché trouve le medium qu’il fera sien, qu’il s’appropriera afin d’aligner chacune de ses tâches sur ce qui est pour lui une source de plaisir, d’enthousiasme, de développement réfléchi et souhaité.  En d’autres termes, au coach de faire faire au coaché davantage que sentir à un niveau abstrait ce qu’est son essence. En inscrivant le coaché dans le mouvement et dans l’action, le coach lui fera observer ses actes et tâches au travers de ce prisme qui appartient à lui seul. Il l’invitera alors à les lui faire calibrer en fonction, intensifiant ce qui le porte le plus et modérant voire cessant le reste lorsque c’est possible, et le conduira à accepter sereinement ce à quoi il ne peut ou veut échapper en prenant conscience de la plus infime contribution apportée à la réalisation de soi.

Pour le coaché, il ne s’agit alors plus de résignation ou de capitulation mais d’acceptation, de progression et d’épanouissement.

 

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Un choix difficile ? Une bénédiction !

Mario KLINGEMANN – Memory of Passersby I, 2018 – Plusieurs GANs, deux écrans 4k, console en bois de châtaignier faite à la main. Chaque écran 145 x 82.9 x 3.8 cm.

 

Un angle différent

C’est une vision enthousiaste et non dénuée d’humour que la philosophe Ruth Chang partage avec nous dans cet exposé sur le concept de choix et en particulier de choix difficile.

Elle y défend l’idée selon laquelle le stress et les peurs qui sont généralement associés à la difficulté de faire un choix sont renforcés par notre tendance non pas instinctive mais culturelle à vouloir à tout prix prendre une décision selon des critères rationnels, à savoir opter pour la meilleure solution.  Cela dit, suivre un tel processus n’est possible que lorsque les options mises dans la balance sont réellement comparables, c’est-à-dire mesurables selon des critères définis, et qu’un raisonnement cartésien nous permet d’opter pour la meilleure solution, tel que nous le faisons dans une situation de choix facile.

Recourir à notre pouvoir normatif

La difficulté que l’on peut éprouver à choisir ne veut donc pas dire que nous sommes stupides ou que les options sont aussi valables l’une que l’autre.  Comme Ruth Chang le dit, les choix difficiles sont difficiles, non pas à cause de nous ou de notre ignorance.  Ils le sont pour la simple et bonne raison qu’il n’existe pas d’option idéale.  Et de la même façon que nous prenons la liberté de choisir nos hobbies, nous avons la possibilité de recourir à notre pouvoir normatif et de créer nos propres critères lorsque nous faisons face à des alternatives équivalentes.  La décision sera toujours rationnelle et cette fois légitimée par nous-mêmes.  Vouloir faire le meilleur choix est dans ce type de cas une quête impossible.  Ce qui est possible, c’est décider qui nous voulons être, embrasser notre décision comme étant celle au travers de laquelle se reflétera notre identité pour que nous puissions vivre notre vie.

Vidéo en anglais avec option de sous-titres français.

Loin du pessimisme d’un Marcel Proust pour qui « dès qu’il y a choix il ne peut être que mauvais », elle y voit ainsi une bénédiction, rejoignant peut-être Jean-Paul Sartre lorsqu’il nous disait que « Nous sommes nos choix ».

Avoir le choix – aussi difficile soit-il – c’est avoir l’opportunité de s’affirmer, de se réaliser et de prendre peut-être plus consciemment le contrôle de notre existence. Et transformer l’énergie négative et limitante de ses peurs en une énergie positive et constructive.

 

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Vie privée, vie professionnelle… de l’équilibre à l’intégration (1/2)

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Quand on parle d’équilibre…

Si la première mention du terme workaholic (traduit maladroitement en français par « bourreau de travail ») remonte à 1947 selon l’Oxford English Dictionary, il a fallu attendre les années 70 pour que l’on évoque les concepts de burnout et de work-life balance.

Cet équilibre entre vie professionnelle et vie privée est encore souvent présenté comme le reflet d’une vie épanouie et « économiquement appropriée » où l’individu parvient à accorder le juste poids, la juste valeur à chacune de ces deux entités fondamentalement distinctes: la carrière et la sphère intime. C’est ce qu’a illustré l’agence Hudson en établissant une typologie des entreprises en fonction de leur propension à encourager l’harmonie entre vie professionnelle et vie privée, mettant aussi en évidence que ceux des employés qui atteignent l’équilibre apportent davantage de valeur à l’entreprise. A titre d’anecdote, relevons cette étude réalisée par Gallup selon laquelle la satisfaction d’un travailleur augmente de 50% s’il a un ami proche parmi ses collègues.

L’équilibre, un concept qui n’est plus approprié

Depuis quelques années cependant, la pertinence même de ce concept d’équilibre est remise en question, tant pour des raisons d’évolution sociétale que suite à une vision progressivement différente et plus philosophique de ce que l’on nomme encore « travail ».

De fait, commençons tout simplement par la façon dont de plus en plus de gens exercent, envisagent ou même rêvent d’exercer leur profession.  Nous sommes en effet très loin de l’époque où l’on pouvait établir sans la moindre hésitation un lien univoque du type un travailleur – un métier – une entreprise – un lieu de travail – une carrière.  A l’heure actuelle, entre cumul d’emplois par nécessité, télé-travail (home working) moins chronophage et écologiquement correct et travail à domicile (home based business), les frontières entre travail et vie privée s’estompent progressivement.

Bien entendu, bien plus que les mentalités, les nouvelles technologies sous-tendent cette évolution. Elles annihilent les distances et, un jour, les hologrammes pourront même parfaire l’illusion d’une présence au sein de l’entreprise. Les relations entre collègues comme entre clients et fournisseurs basculeront dans une dimension où le contact sera virtuel mais aussi où l’activité professionnelle ne sera plus associée à un endroit spécifique. Pour l’individu, l’absence d’un lieu de travail centralisé et unique sera bientôt la norme. Des tâches de plus en plus complexes seront effectuées par des machines, des robots à l’intelligence artificielle occuperont des responsabilités managériales. Et tandis que les réseaux sociaux s’invitent déjà tant à notre table qu’au bureau, que les entreprises ont leur « page » et que nous « likons » nos collègues, la multiplication de ces plateformes entraînera sans doute à terme leur fusion voire leur remplacement par un mégacloud dynamique.

Par ailleurs, au-delà de cette évolution, nous pouvons surtout déceler dans le concept d’équilibre vie privée – vie professionnelle une discordance inappropriée. Vouloir établir un équilibre entre deux mondes implique que ceux-ci sont exclusifs et en compétition. Parler d’équilibre induit nécessairement l’idée de déséquilibre. Maintenir l’équilibre devient alors un moyen, une tactique, pas une fin en soi ni une stratégie. De plus, ne pas parvenir à cet équilibre ou le perdre entraîne un stress évident, une dévalorisation de soi et, potentiellement, dysfonctionnement, maladies, frustration, burnout, décès, suicide. Les Japonais utilisent même le terme de karoshi, signifiant « mort due à un excès de travail ».

Parlons plutôt d’intégration

Si l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle n’est donc plus ce vers quoi il nous faut tendre, quelle approche est-il temps de considérer? Ainsi que le soulignent Lisa Earle McLeod et Stew Friedman, ce n’est pas sous forme de dichotomie que désormais nous devons regarder les choses; ce n’est pas une question de choix ou de moment. Autant que faire se peut, vie et travail doivent s’alimenter, être initiés par une même passion, par de mêmes valeurs. Vie et travail doivent être congruents. La clé n’est donc pas une tactique mais une vision holistique.  La solution n’est pas de savoir comment prioriser mais comment unir plaisir et raison d’être, essence et activité, plénitude et activité professionnelle. C’est de cette façon que l’épanouissement au travail, à la maison, au sein de sa communauté et en son soi intime devient accessible et durable.

Il ne s’agit donc pas d’une question sémantique.  Le concept d’intégration des vies privée et professionnelle est sinon une réalité à tout le moins une nécessité, que cela soit de façon réactive (une adaptation par rapport à une situation professionnelle actuelle) ou proactive (une conception, une implémentation ou une réorientation du plan de carrière).  Dans un cas comme dans l’autre, le premier pas vers cette réalité débutera toujours par une démarche de questionnement pouvant être supportée par un coach. Qu’est-ce qui est important pour moi?  Pour quoi suis-je fait?

Le rôle du coaching

Dans un prochain article, j’aborderai précisément ce questionnement et développerai des pistes permettant d’aller à la recherche de cette raison d’être tant du point de vue de l’entreprise (Corporate Coaching) que du particulier (Career Coaching).

 

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Insight #1

Jung, self, freedom, identity
photo © cedric lefebvre

 

“Le privilège d’une vie est de devenir qui vous êtes vraiment.”

“The privilege of a lifetime is to become who you truly are.”

― Carl Gustav Jung

 

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