“Nous portons en nous des merveilles que nous cherchons en dehors de nous.”
“We carry within us the wonders we seek without us.”
― Thomas Browne
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“Nous portons en nous des merveilles que nous cherchons en dehors de nous.”
“We carry within us the wonders we seek without us.”
― Thomas Browne
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Des études montrent que l’intelligence émotionnelle (c’est-à-dire la capacité de comprendre vos émotions – et celles des autres – pour guider votre réflexion et votre comportement) et l’agilité expliquent 58% de la performance des leaders. Ces études montrent également que 90% des personnes les plus performantes ont une intelligence émotionnelle particulièrement élevée.
Alors, comment augmenter votre agilité émotionnelle ?
Christine Comaford propose un processus en 7 étapes :
Source: Forbes.com
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« La vie, c’est peindre une image, et non faire une somme. »
“Life is painting a picture, not doing a sum.”
―Oliver Wendell Holmes
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Nous avons déjà présenté la stratégie développée par Peter Bregman pour gérer au mieux son énergie.
Marcia Reynolds quant à elle suggère trois questions à se poser pour mieux gérer son énergie et se focaliser sur l’essentiel lorsque l’on est confronté à la difficulté du changement :
Le contrôle, c’est la sensation que vous éprouvez lorsque vous tirez avantage des circonstances pour créer ou trouver la façon dont vous pouvez avancer
Combien d’énergie dépensez-vous à gérer des émotions liées à des situations qui sont hors de votre contrôle? La façon d’allouer son énergie est un choix ; consacrer son énergie à tenter de gérer ce que l’on ne peut changer est la voie royale vers l’épuisement. Focalisez-vous donc sur ce qui est sous votre contrôle – comme prendre soin de vous ou trouver une autre façon d’interagir avec les gens que vous appréciez moins – et développez de nouvelles compétences qui vous intéressent.
Source : Psychologytoday.com
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Quand Arcimboldo peint en 1566 ses allégories des quatre éléments et celle de la terre en particulier, entremêlant des dizaines de corps d’animaux ou d’objets pour composer des visages de profil, peut-être voulut-il nous dire – au-delà du plaisir surréaliste qu’il nous donnait – que l’identification de nos forces, leur alchimie particulière et leur savante imbrication révèlent ce en quoi nous sommes des êtres uniques. Et que c’est sur cette unicité faite de diversité qu’il nous faut jouer avec, certes, la passion en filigrane.
Passion sans raison…
Martha Graham dit un jour « Great dancers are not great because of their technique, they are great because of their passion ». J’en suis profondément convaincu. La passion permet de se transcender, de se dépasser, d’aller au-delà de ses propres limites. La passion est l’ultime ingrédient, celui sur lequel nous n’avons aucun contrôle et qui, pourtant, nous insuffle une énergie incommensurable et nécessaire. Justement dosée, c’est un combustible inépuisable, durable, écologique et équitable. La passion permet de vivre plutôt que de survivre. Intégrée à l’activité professionnelle, elle résout le conflictuel souci d’équilibre avec la vie privée par la dynamique d’une intégration harmonieuse.
Et pourtant, force nous est de constater que la passion seule ne suffit pas. Le rêve peut se révéler un Graal inaccessible. La volonté de se dépasser, de vivre sa passion au point de rejeter toute activité ne lui étant pas associée de près ou de loin peut engendrer une utopie, a fortiori dans un monde où la concurrence prend le pas sur la bienveillance. Et lorsque certains prônent le fait que travail, énergie et assiduité mènent à tout, j’ajouterai que le risque qu’ils mènent aussi à la déception est grand s’ils ne s’accompagnent pas de lucidité, d’honnêteté et d’un tant soit peu d’à propos. Pour reprendre les propos de Martha Graham, si c’est la passion qui fait un grand danseur, celui-ci ne peut faire fi de la technique, certes fruit du travail mais aussi du talent.
De fait, quelle que soit la passion, qu’elle remonte à l’enfance où soit révélée de façon fortuite à l’âge adulte, c’est en la faisant reposer sur nos forces propres qu’il devient alors véritablement possible de se dépasser et donc de grandir. Ces forces qui constituent notre identité, qui sont part intégrante de notre essence et qui entre deux individus peuvent faire la différence.
Comment découvrir ses forces ?
Une étude de Strategy&from menée en 2013 auprès de plusieurs centaines de cadres de divers secteurs d’activité a montré que les entreprises trouvent plus difficiles de définir leurs forces que de comprendre leurs clients. Alors, comment en tant qu’individus pouvons-nous identifier nos propres forces ou comment le coach peut-il aider son client à identifier celles-ci? Comment trouver ce qui permettra d’incorporer la passion dans l’expression de son propre leadership? Comment veiller à ce que la passion puisse être intégrée de façon réaliste et efficace dans le développement? Plus simplement, quels sont les outils à disposition?
En fait, il n’y a pas d’outil parfait ou de recette miracle et nous avons même l’embarras du choix. En effet, plusieurs approches sont possibles et celles-ci peuvent être combinées dans une démarche triangulaire, faisant écho à l’antique maxime « Connais-toi toi-même« .
En conclusion
Passion sans raison et raison sans passion sont deux écueils à éviter. Si l’une permet de s’accomplir, l’autre ancre dans la réalité, toutes deux se nourrissant mutuellement. Toutes deux peuvent être (re-)découvertes, explorées, revisitées au travers de techniques variées. C’est particulièrement vrai pour nos forces, échappant souvent à notre conscience de par ce que nous prenons pour de la banalité, négligeant par la même occasion ce qui devrait s’imposer à nous comme une évidence.
Aussi, gardons à l’esprit que nous sommes des voyageurs: le coaching est la boussole, la passion indique la direction, la raison montre le chemin.
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