“Dans la joie comme dans la tristesse, les fleurs restent nos amies.”
“In joy or sadness flowers are our constant friends.”
― Kakuzō Okakura
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“Dans la joie comme dans la tristesse, les fleurs restent nos amies.”
“In joy or sadness flowers are our constant friends.”
― Kakuzō Okakura
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Combien d’heures de sommeil vous accordez-vous chaque nuit ?
Dans une très intéressante étude menée en 2016 parmi 1,000 cadres et employés sur leurs habitudes de sommeil, la Hult Business school a exploré l’impact d’une privation de sommeil sur trois aspects de la vie des travailleurs: la performance au travail, la santé physique ainsi que la vie sociale et la vie affective.
Les chercheurs ont pu mettre en évidence que le manque de sommeil provoque des troubles de la santé préoccupants chez tous, en particulier chez les plus jeunes qui témoignent d’effets secondaires sur leur performance au travail et leur bien-être émotionnel.
D’autres recherches (J. Minkel, O. Htaik, S. Banks and D. Dinges) suggèrent qu’une « dette de sommeil » est associée à une diminution de l’expression des émotions, en plus d’une performance décroissante elle-même correlée avec un prix à payer aux niveaux social, financier et personnel.
Il est vrai que le travail posté, la collaboration avec des collègues basés dans des fuseaux horaires différents et les voyages internationaux sont des causes fréquentes de perte de temps de sommeil. L’on peut ajouter à cela l’utilisation de la lumière artificielle et son effet profondément suppressif sur l’hormone mélatonine mais aussi les outils technologiques tels que les tablettes, smartphones ou ordinateurs portables qui nous rendent virtuellement accessibles 24 heures sur 24, dans un contexte anxiogène de crise économique où – parfois – le management exerce une pression continue. Et la pression constante de performer mais aussi d’être vu performer sont autant d’éléments qui rendent la quantité de sommeil nécessaire un véritable challenge.
Si tel est votre cas, quelles solutions pouvez-vous envisager ?
Commencez par prendre conscience de la quantité de sommeil que vous vous accordez. Ceci est à la fois facile (il s’agit en effet d’une simple observation) et compliqué car cela dépend de la capacité à prendre du recul et de la volonté à opérer un changement.
Au-delà de cette prise de conscience, il y a surtout la nécessité de réaliser la façon dont la quantité et la qualité de votre sommeil impactent votre vie quotidienne, tant privée que professionnelle. Réactions inappropriées, susceptibilité exacerbée, multiplication des erreurs ?
Le passage à l’action requiert alors l’élaboration de tactiques, reposant sur la détection des éléments concrets qui vous prédisposent à ne pas assez dormir et au design de pistes pour gérer ceux-ci. Ceci peut aller du simple fait d’éteindre son portable une fois rentré chez soi à ne pas regarder la télévision moins d’une heure avant d’aller dormir en passant par une adaptation de son alimentation.
Viennent ensuite des approches plus stratégiques comme la prise de distance vis-à-vis de certains enjeux. Découvrez vos drivers, apprenez à savoir dire non ou prenez peut-être davantage soin de soi que de vouloir faire plaisir aux autres…
Dans les cas spécifiques de troubles de la transition veille-sommeil, des séances d’hypnose peuvent également être bénéfiques.
Enfin et surtout, pratiquez régulièrement la méditation ou la pleine conscience. De fait, 10 minutes par jour ne représentent que 1% du temps que vous passez éveillé. Seulement 1%.
Alors, combien d’heures dormez-vous par nuit… et quel serait l’idéal ?
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“Telle est la vocation de l’homme : se délivrer de sa cécité.”
“Such is the vocation of man: to free himself from his blindness.”
― Max Ernst
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Le 3 novembre en France – et le 13 novembre dans les autres pays – est la Journée mondiale de la gentillesse.
« Gentillesse », ce terme apparaît pour la première fois en 1176 sous la plume du poète Chrétien de Troyes. Et comme l’évoque le philosophe et écrivain, Emmanuel Jaffelin, auteur d’un Eloge de la gentillesse en entreprise (First, 2015), « Etymologiquement, le mot gentillesse ne rime pas avec faiblesse mais bel et bien avec noblesse [du latin, gentilis, “le noble, celui qui est bien né”]. » Une similitude avec l’étymologie du terme anglais kindness, le mot « kyndnes » signifiant en vieil anglais « nation » et aussi « augmentation ».
Alors, quelle place la gentillesse a-t-elle au sein de l’entreprise? Voyons-y une expression de l’empathie, une façon de démontrer son intelligence émotionelle.
« Tenir la porte à celui qui vous emboîte le pas, est appréhendé comme gentil, car il y a une noblesse morale dans cet acte. (…) La gentillesse est une morale du pouvoir et non du devoir. Je ne dois pas être gentil, je peux l’être. Vous êtes un fort en entreprise, parce que vous pouvez être gentil, mais surtout pas parce que vous devez l’être ! Il n’y a pas de devoir de gentillesse. (…) Celui qui est fort est celui qui est dans l’empathie. »
Source: lemonde.fr
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“Ah, le bon goût! Quelle horreur. Le goût est l’ennemi de la créativité.”
“Ah, good taste! What a dreadful thing! Taste is the enemy of creativeness.”
― Pablo Picasso
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“Tout le savoir que je possède, chacun peut l’acquérir mais mon coeur est à moi seul.”
“All the knowledge I possess everyone else can acquire, but my heart is all my own.”
― Johann Wolfgang von Goethe
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“Il y a toujours un peu de folie dans l’amour. Mais il y a aussi toujours un peu de raison dans la folie.”
“There is always some madness in love. But there is also always some reason in madness.”
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Si la technique de la « question miracle » élaborée par Steve de Shazer en 1985 est propre à la thérapie brève et trouve une application dans la cadre de l’hypnothérapie, elle permet également dans le contexte du coaching d’explorer ses ressources internes et de s’inscrire dans le mouvement, vers la solution. Cette question permet de se projeter dans un futur où le problème n’existe plus. Elle amène à décrire des comportements différents. Elle initie un processus focalisé sur l’action et non sur le problème.
Somme toute assez simple, elle commence comme un conte pour enfants. Elle ouvre la porte vers l’expression de soi et des émotions, elle fait basculer dans un univers où réside déjà la solution, focalisant sur le que l’on souhaite vraiment.
« Imaginez… lorsque vous allez partir d’ici, vous allez rentrer chez vous et dîner, faire les travaux de ménage habituels, regarder la télé, ou tout autre chose, et ensuite vous allez au lit et vous endormir… et pendant que vous dormez… un miracle se produit, et les problèmes qui vous ont amenés (…) ont disparu, juste comme ça !… Mais cela est arrivé pendant que vous dormiez, alors vous ne savez pas que cela s’est produit… Alors, lorsque vous vous réveillez le matin, comment découvrirez-vous que le miracle a eu lieu ? »
Que l’on se pose cette question à soi-même ou que celle-ci soit au coeur d’un entretien avec un coach, c’est la projection de soi mais aussi la visualisation et le ressenti des solutions qui généreront le changement souhaité.
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