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Catégorie : En français

Insight #115

leonor fini, coaching, bruxelles, self-consciousness
Leonor FINI – Ada et l’oracle, 1975 – Huile sur toile, 130 x 97 cm

 

“J’ai toujours su que j’aurais une vie très différente de celle que l’on avait imaginée pour moi, mais j’ai compris depuis mon très jeune âge que j’aurais à me révolter pour vivre cette vie.”

“I always imagined that I would have a life very different than the one imagined for me, but I understood from a very early age that I would have to revolt in order to make that life.”

Leonor Fini

 

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Insight #114

magritte, insight, coaching, silence
René MAGRITTE – Souvenir de voyage, 1963 – Huile sur toile, 81 x 100 cm

 

“Il y a des silences aussi murmurants que du bruit.”

“There were silences as murmurous as sound.”

― F. Scott Fitzgerald 

 

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Six astuces pour stimuler la pratique de la pleine conscience sur votre lieu de travail

Damien HIRST – Smashing Yelllow Ball At Peace Painting, 2008 – Papillons et vernis sur toile, 137 x 137 cm

 

Se concentrer sur l’essentiel, focaliser l’attention sur l’instant présent – qu’il s’agisse d’une tâche ou d’une conversation – sans se laisser distraire par les SMS, emails, appels téléphoniques, réseaux sociaux et publicités n’est pas toujours facile. Pratiquer la pleine conscience avec pour corollaire une diminution du stress et une augmentation de l’efficacité se révèle être parmi les techniques les plus pertinentes sur le lieu de travail.

Toutefois, si pratiquer la pleine conscience est une chose, la promouvoir en est une autre. Comment faire ? Les coachs du Forbes Coaches Council suggèrent plusieurs approches, simples et efficaces. Voici 6 d’entre elles.

  • Montrez l’exemple, joignez le geste à la parole, montrez ce que vous voulez que les autres deviennent. En d’autres termes: soyez une source d’inspiration.
  • Regardez votre réponse d’un autre point de vue. Avant de réagir, atteignez cet état que l’on appelle « 3C » (clair, calme, confiant) et pensez à vos actions du point de vue de l’autre en tenant compte de son point de vue. À elle seule, cette mesure peut contribuer grandement à créer un milieu de travail conscient.
  • Faites des pauses. Le changement dans l’activité physique et mentale crée un espace pour le repos et le régénérescence. Avec un esprit et un corps rafraîchis, de nouvelles idées naîtront et votre engagement sera renouvelé. 
  • Respirez. Arrêtez de parler et commencez à respirer. Respirez pendant que vous êtes assis, pensez à la vie devant vous et parlez en toute conscience avec une intention centrée sur l’être humain.
  • Laissez du temps entre chaque réunion, que celles-ci soient en personne ou virtuelles. Et, à nouveau, respirez. Ceci vous évitera d’être en retard à la réunion suivante ou de quitter la réunion précédente plus tôt, mentalement ou physiquement.
  • Intégrez la pleine conscience dans vos réunions en prenant quelques minutes au début d’une réunion pour méditer, fixer des intentions et prendre quelques respirations. Cela permet à la pleine conscience d’être un élément d’action et d’intégrer la culture de l’organisation. 

 

Source : Forbes.com

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Insight #113

insight, coaching, awareness
Jacques TRUPHEMUS – Salle des ventes, 1984 – Huile sur toile, 114 x 146 cm

 

“Nous portons en nous des merveilles que nous cherchons en dehors de nous.”

“We carry within us the wonders we seek without us.”

― Thomas Browne

 

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Comment tirer le maximum d’une journée de congé ?

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Egon SCHIELE – Schlafendes Mädchen (Jeune fille endormie), 1909 – Gouache, pastel et crayon sur papier, 22 x 22 cm

 

Elizabeth Grace Saunders a raison de nous rappeler que trop souvent nous associons l’idée de vacances à des voyages lointains, sans penser au temps de préparation que ceux-ci exigent de nous et à l’énergie que – paradoxalement – ils nous prennent. Sans compter le stress généré chez certains par la délégation des tâches qui ne pourront être gérées personnellement durant l’absence.

En fait, les vacances n’ont pas besoin d’être grandes pour influencer positivement notre santé et notre bonheur. En fait, prendre fréquemment des « micro-vacances » d’une journée ou moins peut significativement améliorer le sentiment de bien-être et nous apporter ces bouffées d’oxygène indispensables à notre équilibre. Plus faciles à organiser, ne nécessitant pas de réorganisation de travail, elles peuvent même s’étaler tout au long de l’année.

Voici quatre façons d’ajouter des micro-vacances à votre vie :

  • Le temps d’un weekend, deux ou trois jours « ailleurs », dans un lieu dépaysant. Changer de cadre c’est quitter un contexte peut-être aliénant.
  • Une demi-journée voire un jour entier pris pour se consacrer aux tâches non-professionnelles restées en suspens en raison d’un emploi du temps trop chargé. Et, ainsi, acquérir une sensation de liberté.
  • Une heure ou deux pour « socialiser » et voir ces proches que l’on a négligé depuis trop longtemps, sans empiéter sur le temps du weekend peut-être consacré à la famille. Se reconnecter à ceux que l’on aime.
  • Le travail à distance. Sans être stricto sensu un congé, le fait de travailler de chez soi, voire dans un contexte propice à la détente permet d’économiser le temps normalement pris pour se rendre sur le lieu  de travail et peut donc en soi être une bouffée d’oxygène. 

L’éventail de possibilités est vaste et n’exclut en rien ces longues et lointaines escapades qui font rêver. Elles sont néanmoins un soutien essentiel à l’équilibre de notre énergie.

 

Source : hbr.org

 

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Insight #112

insight, coaching, alliance, gerard garouste, rivière, legacy
Gérard GAROUSTE – L’alliance, 1999 – huile sur toile, 81 x 65 cm

 

“Il nous faut commencer à songer comme une rivière si nous voulons laisser la beauté et la vie en héritage aux générations futures.”

“We must begin thinking like a river if we are to leave a legacy of beauty and life for future generations.”

― David Brower

 

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Comment développer de l’empathie pour quelqu’un qui vous ennuie ?

 

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GILBERT and GEORGE – Inner, 1992 – Divers matériaux, en 9 parties, 253 x 213cm

 

Cultiver l’empathie est une façon d’optimiser notre rapport aux autres, en particulier avec les personnes vis-à-vis desquelles nous n’éprouvons pas d’affinité mais avec lesquelles nous sommes obligés de travailler.

Rebecca Knight suggère un approche en plusieurs étapes lorsque quelqu’un nous horripile :

  1. Tout d’abord dépersonnaliser la situation et se demander ce qui nous dérange à ce point. Peut-être notre interlocuteur évoque-t-il en nous une autre personne et les souvenirs que nous avons avec celle-ci.
  2. Ensuite, détecter nos signaux d’alarme, ces indices physiologiques témoignant de notre énervement : accélération de notre rythme respiratoire, augmentation de la température. Prendre quelques respirations profondes pour réguler notre production d’hormones, non pour capituler mais pour rester maître de nos réactions.
  3. Puis, soyez curieux : demandez-vous ce qui fait que cette personne se comporte de la sorte. Ce qui la motive et l’inspire, comme la pression qui s’exerce peut-être sur elle. L’objectif est ici de ressentir la situation selon la perspective de l’autre. Pas forcément de l’accepter ou de l’adopter, juste la percevoir.
  4. Focalisez-vous sur vos points communs, parfois de simples détails qui peuvent exprimer un objectif commun.
  5. Cultivez votre générosité. Accordez lui le bénéfice du doute, ce qui est bien entendu plus facile à faire avec les gens que l’on apprécie. Complimentez tout en restant authentique.
  6. Si tout ceci ne suffit pas, ayez une conversation portant sur votre collaboration. Faire ceci sous l’angle de l’empathie vous déchargera des émotions perturbantes. Et souvenez-vous que votre collègue ressent peut-être à votre égard ce que vous ressentez pour lui.

 

Source: hbr.org

 

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Insight #111

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Salvador DALI – Flor Dali, étude, 1967 – Gouache, aquarelle, encre et crayon sur papier, 57 x 37.5 cm

 

“Il me faut des fleurs, toujours, toujours.”

“I must have flowers, always, and always.”

― Claude Monet

 

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Comment définir sa mission personnelle ?

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Keith HARING – Untitled, 1987 – Acrylique sur toile, 100 x 100 cm

 

Que ce soit les générations X ou Y à l’approche de la quarantaine ou à un tournant professionnel ou, plus tôt, la génération Z se distanciant du mode traditionnel de carrière prédéfinie, nombreux sont ceux qui à un moment de leur vie font face à une crise de sens, à un besoin profond d’aligner leur existence avec une forme de contribution dépassant la sphère de leur individualité.

Aborder et gérer cette situation passe par la définition de sa mission.

La consultante Kaitlin Zhang, spécialiste du personal branding, suggère une approche reposant sur les réponses à 7 questions que chacun peut se poser pour définir sa propre mission :

  1. Quel est pour vous un problème majeur dans ce monde ?

  2. Qu’avez-vous l’intention de réparer ?

  3. Pourquoi faites-vous ce que vous faites ? Et pourquoi cela ? Et pourquoi cela ? …voire « pour quoi ? »

  4. Qu’est-ce qui, dans votre expérience passée, vous passionne à ce sujet ?

  5. A quoi ressemblerait la meilleure version de vous-même ?

  6. En quoi êtes-vous différent des autres personnes qui font des choses similaires ?

  7. Votre mission est-elle suffisamment spécifique pour la différencier de celle des autres ?

Que ce soit en complément ou en parallèle de la définition de votre ikigai, ce type de réflexion participe à une meilleure connaissance de soi ainsi qu’à un épanouissement professionnel.

Alors, quelle est votre mission personnelle ?

  

Source : inc.com, kaitlinzhang.com

  

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