Quelques perles issues de l’atelier animé par Jacques Fradin* ce lundi 6 mars 2017 à Bruxelles dans le cadre des ateliers et conférences organisés par ICF Belgium :
« Le stress nous informe de l’irrationalité de nos pensées et de nos comportements. »
« C’est quand tout va bien que l’on peut faire les choses encore mieux. »
« Le stress, c’est le refus. »
« La sagesse, c’est ne plus rien refuser et agir. »
« Accepter, c’est ne pas se débattre dans le vague. »
« Le mode adaptatif, c’est pour débrouiller l’indébrouillable. »
« Il est important d’apprendre à changer sa posture mentale. La posture passe avant la stratégie. »
« Pour faire un choc, il faut deux rocs. »
« La curiosité, c’est avant tout pour les situation difficiles. »
« Ce n’est pas parce que l’on trouve une solution que l’on se calme. C’est parce que l’on se met en état de résoudre le problème. »
« Passer de l’injustice à l’injustesse. »
« Le stress est une réponse à une situation que l’on ne maîtrise pas et qui semble dangereuse. »
« Le stress est au mental ce que la douleur est au physique. C’est normal d’être stressé; ce n’est pas normal que cela dure. »
« La résignation est de l’ordre de l’action non saine. C’est rester où je suis. »
« Un déprimé est une personne intelligente qui pense quelque chose de stupide. »
* Jacques Fradin est le Fondateur de l’Institut de Médecine Environnementale et l’initiateur de l’Approche Neurocognitive et Comportementale. Docteur en médecine, psychothérapeute comportementaliste et cognitiviste (AFTCC), fondateur de l’Institut de Médecine Environnementale, consultant et chargé de cours, il est également auteur ou coauteur d’articles et ouvrages, publications scientifiques et de vulgarisation, parmi lesquels L’Intelligence du stress (Eyrolles, 2008) et La Thérapie Neurocognitive et Comportementale. Prise en charge neurocomportementale des troubles psychologiques et psychiatriques (De Boeck, 2014).
« Oh ! ne jure pas par la lune, l’inconstante lune,
Qui change tous les mois sur son orbe circulaire,
De peur que ton amour ne s’avère aussi changeant. »
“O, swear not by the moon, th’ inconstant moon, That monthly changes in her circle orb, Lest that thy love prove likewise variable.”
Quelle meilleure façon d’illustrer le « Power Posing » présenté dans un précédent article que ce portrait de Mäda Primavesi par Gustav Klimt ? On y voit une fillette de 9 ans, pleine d’assurance, irradiant de confiance en soi, défiant la société et ses conventions.
Comme décrit par Amy Cuddy, les expressions non-verbales évoquant la puissance influeraient en seulement deux minutes sur les sensations, le comportement ainsi que le taux d’hormones de ceux qui les adoptent. En d’autres termes, c’est l’influence du corps sur l’esprit, se traduisant par la suite en body language naturel et pertinent selon l’objectif visé.
Certaines critiques ont récemment été formulées quant à la réalité du Power Posing. Amy Cuddy a longuement répondu à celles-ci, faisant l’état des lieux des plus récentes recherches sur le sujet.
Dans un précédent article, nous avons avons évoqué les concepts de vréel, de complexité de la réalité et de différences de perception.
Cette réflexion est la base même de la programmation neuro-linguistique (PNL), une méthodologie qui permet d’agir sur les comportements au moyen du langage, élaborée par le psychologueRichard Bandler et le linguiste John Grinder aux États-Unis dans les années 1970.
Un des présupposés de la PNL est en effet la différence entre la réalité (le monde) et ce que nous en percevons grâce à nos cinq sens, la manière dont nous filtrons ce que nous percevons et la manière dont nous nous le représentons, notre carte du monde. Ainsi, la carte du monde est ce que nous construisons à partir de ce que nous percevons de la réalité, c’est donc une représentation. C’est ce qui explique que pour un même événement vécu, tous les observateurs ne remarqueront pas et ne vivront donc pas les mêmes choses.
De nombreux exemples ont été élaborés pour illustrer ce fait que la carte n’est pas le territoire et que le même territoire (objet) peut être perçu avec des cartes différentes mais quelles meilleures illustrations pourrions-nous trouver que de réelles cartes du monde dessinées pour positionner le lecteur au centre-même du monde, de son monde, en un élan égocentrique spontané, logique et biaisé?
De fait, si les nations européennes se placent au centre de la carte…
Les Américains font de même, coupant l’Asie en deux…
Et les Chinois – de même que les Japonais – se mettent naturellement au centre, positionnant l’Amérique à l’est…
…quitte à appliquer une rotation mettant ceux que certains appellent les pays émergents au centre d’une nouvelle géographie.
Ces différentes représentations seront donc familières ou surprenantes en fonction de la culture du lecteur et de ce à quoi il aura été exposé. Nulle n’est meilleure qu’une autre. Il nous faudra seulement garder à l’esprit que nos points de référence, notre éducation, nos programmes scolaires sont tellement ancrés en nous qu’ils nous font – tout comme nos sens, nos croyances, nos valeurs et nos peurs – oublier que ce que nous prenons pour le monde n’en est qu’une vision…
According to Wharton management professor Matthew Bidwell, external hires are initially paid 18% to 20% more than the promoted workers. It also seems they have higher levels of experience and education and have higher exit rates. This would mean that a recruitment strategy based on seductive higher salaries is efficient to attract brains and does not generate loyalty.
On top of that, those newcomers get significantly lower performance evaluations for their first two years on the job than do their colleagues who are promoted into similar functions.
Consequently we could also conclude that professionals are often taken for granted by their own organizations. Not really motivating, isn’t it? From a more dynamic perspective, we would conclude that – whatever the career plan you may have – it is important to cultivate a strong external reputation so that you can leverage opportunities when you want.